Je n’en revenais pas ! Se pouvait-il que mon esprit soudain tourneboulé, se mette à projeter sur ce jardin miniature de plastique, une scène d’un de mes films japonais préférés ?

Barbara nous fait du bien parce qu’elle est alchimiste, elle transforme, pour notre bonheur, le vil métal, en or pur.

un matin, je mis à la voile. Pour toute propulsion, le vent. Pour tout équipage, la solitude.

"Barbes noires et rousses mâles attributs Dents aléatoires Femelles pipes aux lèvres"

Ce matin-là, Monsieur s’est levé du bon pied, si je puis dire. Ce matin-là, il me gratifia d’un large sourire...

Poème confession d'un homme du 20ème siècle

Une fée promène par ici son feu mélancolique qui me chauffe le cœur ; disparaît par là-bas où somnole le muguet.

"Et vous, leur demanda-t-il, qui dites vous que je suis ?" (Evangile de Luc, 9:20)

Seul, au volant de sa lotus 7 sur une route unique, la sienne, piste solipsiste...Il a démissionné !

Cessons de grogner, je sature de ces ronchons, dont je fis partie, qui se font les champions du « c’était mieux avant » ou du « de toutes...

Tout à coup, le sol s’est dérobé sous moi. Soudain, après son service quotidien, tandis que je me hâtais vers chez moi, la rupture brutale.

Poème A mon gosier intransigeant Ne convient que le doux velours Rubis de l’âme sur mon foie tendre

Le soir descend. J’écoute la mer. Peut-être qu’ils m’ont oublié en partant. C’est aussi simple que cela. Un oubli.

Il est temps de présenter la Dame. Dame Folie s’il vous plaît !

Poème d'Amour et de Mort

« Et, se jetant de loin un regard irrité Les deux sexes mourront chacun de son côté » (Alfred de Vigny)

Jusques aux couches des femelles déterminées aux bassesses, Visqueuses et que devina le maladif reclus de Providence.

Texte d'humeur et d'analyse après la semaine marquée par les circonstances du retrait de la vie politique de 2 membres de la NUPES.

Je parcourais l’étendue glacée. A perte de vue la coulée immobile des glaciers et derrière moi, les tourbillons pulvérulents lancés à ma...

Sensations en Poème Par G. Provaux Je marchais en forêt Sur un sentier délicat comme une piste